musée du diocèse de lyon

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Henri Denis

1921-2015

(à compléter)

 

 

 

 

 

En 1921 Henri DENIS naît à Roanne.

 

Après des études scientifiques, il entre au Grand Séminaire de Lyon.

 

En 1951 il est ordonné prêtre du diocèse de Lyon.

 

En 1952 il est nommé professeur au Grand Séminaire de Lyon jusqu’en 1964.

 

En 1960 il soutient sa thèse en théologie à la Faculté de Lyon sur La théologie de l’Ascension dans les sermons de Saint Léon le Grand.

 

A partir de 1961 jusqu’en 1997 il participe au Groupe des Dombes.

 

En 1962 il accompagne le cardinal GERLIER et son auxiliaire Mgr VILLOT au Concile Vatican II.

 

Il participe alors aux travaux du « Collège belge » sur les questions sociales et prépare la seule intervention au concile du cardinal Gerlier le 1er octobre 1963 sur l'Eglise des pauvres.

 

En 1963, lors de la deuxième session, il participe à la rédaction du texte sur le prêtre que le P. Congar intègre dans le texte préparatoire de la constitution sur l'Eglise (Lumen Gentium28. Les prêtres dans leur relation au Christ, aux évêques, au presbyterium et au peuple chrétien).

 

Il participe à la commission conciliaire qui prépare, en remplacement d’un message aux prêtres, massivement rejeté par les Pères du Concile, le décret Presbyterorum ordinis adopté à la dernière session en 1965.

 

Après le Concile Vatican II il participe dans le diocèse de Lyon à la diffusion des idées réformistes du concile, en particulier pour la liturgie, et au niveau de la Conférence des Evêques de Frances à la mise en place du diaconat permanent.

 

En 1964 il est nommé vicaire épiscopal du diocèse de Lyon chargé de la pastorale liturgique et sacramentelle jusqu’en 1981, et chargé de la formation permanentes des prêtres jusqu’en 1985. A ce titre il organise des sessions dites de « recyclage » des prêtres par tranche d’âge.

 

En 1964 il est invité par le groupe de prêtres ouvriers « insoumis » réunis autour de Bernard Chauveau qui prépare la Lettre d’un groupe de prêtres-ouvriers aux Pères du Concile, envoyé en juin 1964. (DURIEZ pp.170-171).

 

Lorsque le cardinal Renard invite le Conseil presbytéral à lui indiquer, par vote secret, trois noms de prêtres diocésains aptes à devenir évêques, il remporte les suffrages, suivi des Pères Chagué et Delorme, qui seront ordonnés évêques respectivement en 1969 et 1975.

 

Entre 1973 et 1983 il accompagne plusieurs groupes de prêtres mariés.

 

Il fait partie dès l’origine, en tant que « prêtre-ainé » accompagnateur des « jeunes prêtres », de l’Assemblée Régionale de Prêtres (A.R.P.) qui regroupe des prêtres en ministère et d’autres mariés accompagnés de leur épouse.

 

En XXXX il est nommé professeur de dogme à l'Institut Pastoral d'Etudes Religieuses, qui dépend de la Faculté de théologie de Lyon.

 

En XXXX il devient membre du Conseil National de Pastorale Liturgique.

 

De XXXX à XXXX il enseigne au Grand séminaire de XXXX en Afrique.

 

En XXXX il est nommé directeur adjoint de l’Institut Supérieur de Pastorale Catéchétique, qui dépend de la Faculté de théologie de Paris.

 

En 1981 il devient vicaire de la paroisse de Francheville et en 1991 prêtre auxiliaire à la paroisse de Sainte-Foy-lès-Lyon jusqu’en 2010.

 

En 1984 il entre au conseil de rédaction de La Maison-Dieu jusqu’en 1988.

 

En 1986 avec d’autres prêtres et laïcs de la région Rhône-Alpes il critique l’ecclésiologie sous-jacente au voyage du pape Jean-Paul II à Lyon, reprenant la lettre écrite aux évêques avec l’A.R.P. en 1980 :

 

Nous craignons qu'une attitude triomphaliste ne vienne nous bercer d'illusions et nous faire oublier les conflits, les inégalités sociales, économiques et culturelles, les souffrances qui sont les préoccupations quotidiennes des femmes et des hommes de notre pays. Qui va tirer profit de ce voyage ?

Nous craignons que la diffusion d'une Parole Unique, officielle et sécurisante, n'étouffe la diversité et le dynamisme des communautés chrétiennes, ne détruise leur originalité, n'arrête la recherche théologique, n'empêche la reconnaissance de nouveaux ministères.

Nous souhaitons que Jean Paul II profite de son voyage en France, non pas pour réaffirmer des « réponses » de toujours, mais pour écouter, comprendre et chercher avec ses frères chrétiens.

(cité dans Ils gagnèrent le large, 2008)

 

En 1988 il s’étonne que Rome manifeste envers les prêtres intégristes une bienveillance qu’il n’a pas constatée envers les prêtres ouvriers et les prêtres mariés.

 

Soyons franc parce qu’il s’agit de quelque chose qui nous a touchés dans notre chair : Rome a vu disparaître des milliers, des dizaines de milliers de prêtres qui sont partis, certains pour se marier, d’autres parce qu’ils estimaient déjà que le Concile ne serait pas appliqué. Permettez-moi de dire que certains d’entre eux étaient parmi les meilleurs de mes confrères, les plus zélés, les plus évangéliques

Avons-nous entendu parler de négociations pour leur permettre de rester au service de l’Eglise ? Rien, pas un mot, sinon de condamnation ! Silence sur des milliers de prêtres perdus pour le ministère de l’Evangile ! En revanche on fait des pieds et des mains, on remue ciel et terre, on est prêt à des compromis attristants pour récupérer les deux cent soixante-trois prêtres ordonnés à Ecône

(Témoignage Chrétien, 6-13 juin 1988, cité dans Ils gagnèrent le large, 2008)

 

En 1988, estimant que le pape Jean-Paul II vide de leur contenu un certain nombre de textes du concile Vatican II, avec quatre autres prêtres il lance les groupes Jonas où les prêtres expriment leur fidélité à ce concile.

 

L'aventure de Jonas n'est-elle pas celle de la conversion du prophète grâce à Celui qui aime les païens et qui demande au prédicateur de ne pas s'enfermer dans sa vérité ? Nous ne demandons la fidélité à Vatican II (et plus profondément à l'Evangile) qu'en raison des impératifs de la Mission. Mais une Mission qui ne convertit pas l'institution devient très vite une entreprise de propagande.

Nous voulons redonner confiance à notre Eglise, afin qu'elle soit ferme dans ses exigences évangéliques au moment même où elle manifeste son amour pour le monde et pour les humains. Nous ne croyons pas à la réussite d’une Eglise qui triompherait sur les ruines de l'homme ou de la modernité.

Que l'humour de Dieu nous garde sereins sur les flots tumultueux comme sur les rivages ou les avenues de la Ninive moderne !

(Convictions de Jonas, juin 1989)

 

En 1989 il signe l’Appel de Marcel Légaut paru dans le quotidien Le Monde, auquel il rend hommage ainsi :

 

Mon dernier mot ? Je l’emprunterai à Dostoïevski, en le plagiant maladroitement quand il évoque le rapport crucial entre  le Christ et la vérité. Voici ce dernier mot : s’il me fallait choisir entre la vérité dogmatique (je dis bien “dogmatique”) et Marcel Légaut, je choisirais Marcel Légaut, avec le secret espoir d’être ainsi conduit à une vérité plus profonde. Alors, il me resterait encore à entendre une parole qui me serait soufflée par l’esprit de Jésus, une parole capable de préserver le mystère de ce dont nous avons tenté de parler : “Mais, il y a ici plus que Légaut” !

(ACML, 2000, Le chrétien Marcel Légaut ou le spirituel en dialogue avec le dogme, pp.201-210)

 

En 1992 il exprime ses craintes devant l’importance que semble donner le pape Jean-Paul II à l’Opus Dei dont celui-ci canonisera le fondateur en 2002.

 

… on ne peut à !a fois défendre Vatican II et l'Opus Dei. Il faut savoir (et je le dis pour l'avoir éprouvé dans ma chair comme dans ma pensée) que l'on ne peut pas considérer comme compatibles les thèses de l'Opus Dei sur la reconstitution de la "chrétienté" et la théologie de Gaudium et Spes sur la légitime autonomie des réalités terrestres.

(La Croix. L'Evènement, 16 juin 1992)

 

En 2001 il précise les conditions dans lesquelles pourraient se faire la réintégration des divorcés remariés dans la communion ecclésiale eucharistique :

 

L'Eglise ne peut plus tolérer longtemps que des baptisés vivent un amour fidèle dans un remariage, sans que cela puisse être porté au compte de la communion des croyants.

Sinon, les divorcés remariés "fidèles" à leur foi et à leur baptême seraient traités comme des exclus, ou encore comme des frères séparés avec qui l'inter-communion est encore impossible…

Ne pas pouvoir communier à l'eucharistie est d'une certaine façon se voir refuser d'être membre de ce groupe ecclésial qui communie (c'est bien une ex-communion, si ce n'est pas une ex- communication).

Nous pensons que de tels repères rendus publics pourraient rompre un silence inquiétant et dire enfin que la miséricorde de Dieu est inépuisable. Réconcilier les divorcés- remariés avec l'eucharistie du Seigneur, ne serait-ce pas l'annonce et le gage d'autres réconciliations ?

(Valpré, 2001, Réflexion théologique et pastorale sur la situation des divorces dans l'Eglise catholique)

 

Ses trois derniers ouvrages se présentent comme un bilan prospectif résultant de plus de soixante années de réflexion sur la vie ecclésiale, d’élaboration d’orientations pastorales, de transmission de savoirs théologiques :

 

On mesure alors la profondeur de la théologie négative, dite encore apophatique (dont témoignent de grands mystiques d'Orient et d'Occident), laquelle n'a jamais été reniée par la tradition chrétienne. Et l'on est en droit de se demander si un certain « agnosticisme » n'est pas une donnée essentielle de la foi, dans la mesure précisément où celle-ci doit refuser de s'emparer de Dieu et encore davantage du Dieu qui s'est fait proche.

(2002)

 

Je pense que l'Evangile est tellement neuf, tellement déstabilisant, tellement inouï, qu'il ne faut pas le mettre en syllogisme rigoureux ou en thèse rationnelle. Une théologie de l'enfance, et non d'enfant, ce serait une théologie tellement proche de l'Evangile qu'elle en épouserait la naïveté apparente, suprême, le refus de l'esprit de sérieux, bref, la liberté créatrice.

(2004)

 

Quelle liberté ? La mienne, bien évidemment, pour commencer. Sans quoi, je n'oserais plus rien écrire. Celle de tout chrétien, de toute chrétienne, ensuite, quand ils parlent de Dieu. Mais plus profondément, sans doute, la liberté de Dieu lui-même. J'aimerais, sans prétention de ma part, lui rendre sa liberté. On l'a tellement enfermé dans des données immuables : dogmes, déclarations solennelles, thèses de concile divers, et autres catéchismes, toutes paroles d'Evangile d'autant plus immuables qu'elles étaient dites "révélées". Comment alors y toucher ? Comment ne pas réduire toute réflexion sur ce Dieu-otage sans se limiter à des commentaires plus ou moins filandreux. Pensant à cette situation inconfortable pour le Dieu de Jésus-Christ, si perturbateur, il me vient alors à l'idée de laisser Dieu vagabonder. Il le fera bien tout seul, me direz-vous ? Oui, mais il ne le fera pas sans nous !

(2005)

 

Puis il se retire dans une maison de retraite à Ecully près de Lyon, où il décède en 2015.

 

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

(à compléter)

 

 

OUVRAGES

 

1954, avec Chavasse A., Frisque J., Garnier R., Église et apostolat, Casterman

1956, A la découverte du mystère de l'Église, supplément à Jeunes Equipes Enseignantes

1960, La vocation sacerdotale, in Ars : journées sacerdotales du centenaire, 22-24 septembre 1959, Fleurus

1962, Engagement, conscience et foi, Editions Ouvrières

1965, L’Esprit de la réforme liturgique, Société Nouvelle des Imprimeries de La Loire Républicaine

1965, avec  Brunot A., De Chalendar X., Prêtres, pourquoi ? recherche des aumôniers du M.R.J.C., Editions Ouvrières

1966, avec. Brunot A., De Chalendar X., aumôniers du C.M.R. et du M.R.J.C, Prêtres, comment ?, Editions Ouvrières

1966, Le diaconat dans la hiérarchie. Sa spécificité, in WINNINGER P., CONGAR Y. (dir.), Le diacre dans l'Eglise et le monde d'aujourd'hui, Cerf

1966, Existence sacerdotale et liturgie in La liturgie dans les documents de Vatican II, Bruges Biblica

1967, avec Schaller R., Diacres dans le monde d'aujourd'hui. Textes conciliaires et post-conciliaires avec commentaire et point de la recherche, A.P.E.

1967, Pour une prospective théologique, Casterman

1967, Le Prêtre de demain, Casterman

1968, La théologie du presbytérat, de Trente à Vatican II, in Congar, Frisque (dir.), Les Prêtres. Décrets Presbyterorum ordinis et Optam totius…, Cerf

1968, préface de Aubry A., De Baciocchi J., Rozier C., Célébrations pénitentielles, Chalet

1969, avec Frisque J., L'Église à l'épreuve, Casterman

1970, avec Defois G., Nicole Fabre N., Le Sacrement de réconciliation... 2. Vers une pastorale pénitentielle pour aujourd'hui, ISPC

1971, Les Sacrements ont-ils un avenir ?, Cerf

1971, avec Lintanf JP., Mandouze A., postface du card. Alexandre Renard, L'Église que Jésus a voulue ? Le Chalet

1973, préface de Parent R., Condition chrétienne et service de l'homme : essai d'anthropologie chrétienne, Cerf

1973, postface  de Cappanéra R., La Foi hors la loi ?, Editions Ouvrières

1974, L'Évangile et les dogmes, Centurion

1974, Des Sacrements pour notre temps pour une «politique» en pastorale sacramentelle, SPC diocèse de Lyon

1974, avec Delorme, Bony, Cothenet, Le Ministère et les ministères selon le Nouveau Testament : dossier exégétique et réflexion théologique, Seuil

1975, Des Sacrements et des hommes dix ans après Vatican II, Chalet

1975, Les Stratégies possibles pour la gestion de la religion populaire, in Religion populaire et réforme liturgique, Paris, Cerf, p.163-192.

1977, Les Chemins de la théologie dans le monde de ce temps, Centurion

1978, avec Pouts J., Servel J., Le Carême, temps du passage, Chalet

1979, Chrétiens sans Église. Eglise fermée, Église ouverte ? pour libérer l'expression de la foi, nouveaux espaces pour croire, DDB

1980, avec Paliard C., Le Baptême des petits enfants histoire, doctrine, pastorale, Centurion

1981, (dir.), L'Arc-en-ciel de la sacramentalité chrétienne recherche sur le rapport entre le sacramentel et le non-sacramentel dans les célébrations, Profac

1982, Sacrements, sources de vie études de théologie sacramentaire, Cerf

1984, " Laissez les morts enterrer leurs morts "essai sur la célébration chrétienne de la mort, Profac UCLyon

1985, Église, qu'as-tu fait de ton concile ?, Le Centurion

1986, Guérir de la mort réflexions sur le sacrement de l'onction des malades, Profac Lyon

1989, Pour célébrer l'Eucharistie, Editions Ouvrières

1989, avec Bourgeois H., Jourjon M., Les Évêques et l'Église un problème, Cerf

1990, (dir.), Le Mariage, un sacrement pour les croyants ?, Profac Université Catholique de Lyon

1991, L'Église : les quatre portes du Temple, DDB

1992, L'Église : les quatre portes du Temple, DDB

1993, 100 mots pour dire la foi, DDB (recueil de textes diffusés en 1992-1993 sur Radio-Fourvière)

1993, Avec le cardinal Gerlier et Mgr Villot : échos d’un compagnonnage, in Fouilloux E., Vatican II commence…, Louvain, pp.133-135.

1997, "Je crois en Dieu, créateur", DDB

1997, "Voici l'Homme !" réflexions sur quelques questions fondamentales, DDB (texte remanié d'émissions diffusées en 1994 et 1995 sur Radio Fourvière)

1997, postface de Potel J., Landry J., Pou H., Femmes et prêtres mariés dans la société d'aujourd'hui, Karthala

1998, Le sacrement de mariage, cass. Audio, Audiovisuel Musique Evangélisation

2001, Jésus, le prodigue du Père, DDB

2001, Marcel Légaut, ou le spirituel en dialogue avec le dogme, in Quand renaît le spirituel. Actes du colloque Marcel Légaut, ACML, pp.201-210

2002, L'avenir en face réflexions sur la crédibilité de la foi chrétienne et sur le ministère de l'Eglise, DDB

2004, Semences, DDB

2005, Dieu en toute liberté, DDB

 

 

ARTICLES

 

Vocations

1960, Le caractère spécifique de la vocation sacerdotale, 211, pp.3-24.

 

La Maison-Dieu. Chiers de pastorale liturgique

1965, La prière universelle — 84/140-165

1966, La pastorale des sacrements dans une vue théologique de l'ensemble de la pastorale — 88/5-22

1968, Les sacrements dans la vie de l'Eglise — 93/39-59

1969, Les prêtres et la liturgie. Essai de réflexion sur la situation présente — 97/58-75

1970, Liturgie et sacrement. Vers une nouvelle étape de la réforme liturgique — 104/7-29

1973, Ministres du culte ou ministres de l'Evangile ? — 115/133-163

1975, Les stratégies possibles pour la gestion de la religion populaire — 122/163-193

1977, Problèmes pastoraux autour de l'Eucharistie — 129/7-37

1977, avec Wiéner Cl., En écho à la réflexion sur « Evangélisation et Sacrements » (A propos d'un livre de A. Turck) — 129/64-72

1980, La communauté eucharistique aujourd'hui — 141/37-67

1980, Dialogue avec un frère au-delà des signes — 144/163-172

1982, Les sacrements font l'Eglise-Sacrement — 152/7-35

1984, La pastorale sacramentelle en France depuis 25 ans — 157/111-159

1984, La Maison-Dieu au service de la maison de tous  Pour un essor liturgique dans une Eglise diversifiée — 160/19-22

1988, Contre-point — 174/131-135

 

Revue des Sciences Religieuses

1984, Sur les rapports entre théologie et pastorale — 58/1-3, Hommage à A.Chavasse

 

Lumière et Vie

1966, Approches théologiques du sacerdoce ministériel 076-077

1970, Les communautés de base sont-elles l'Eglise ? 099

1978, Quand meurt l'extrême onction. Essai sur le renouveau de l'onction des malades138

1987, Eglise peuple de Dieu, une priorité impossible ?182

1994, Ambiguïtés d'un catéchisme universel216

1998, La prière, geste de la foi240

 

Courrier des Fraternités sacerdotales Jésus-Caritas

2000, Quelles vocations ? Pour quelle Eglise ?164

2000, L'avenir des ministères dans l'Eglise et le monde de ce temps163

 

 

 

DOCUMENTS

 

 

-      ACML, 2000, Colloque Quand renaît le spirituel. Colloque Marcel Légaut

 

-      ACML, 2010, Dossier sur l’Appel de M.Légaut

 

-      Preventsectes.com, 1992, L’Opus Dei

 

-      DURIEZ Bruno (dir.), 2001, Chrétiens et ouvriers en France: 1937-1970

 

-      Valpré, 2001, Réflexion théologique et pastorale sur la situation des divorces dans l'Eglise catholique

 

-      Groupes Jonas, 2002

 

-      Croire, 2002, Henri Denis, le prêtre présent au monde

 

-      GROOTAERS Jan, 2002, De plain-pied au Concile. Albert Prignon, acteur et témoin à Vatican II, Revue théologique de Louvain, 33/3, pp.371-397

 

-      ALBERIGO Giuseppe, 2000-2005, Histoire du concile Vatican II (1959-1965), 5 vol.

 

-      TROISFONTAINES Claude, 2006, Quelques enjeux de Vatican II. À propos d'un quarantième anniversaire, Revue théologique de Louvain, 37/3, pp.379-393

 

-      DECOURT Georges, 2008, « Ils gagnèrent le large »

 

-      GRIMONPREZ Christiane, 2010, Le Concile Vatican II par ceux qui l'ont fait : aujourd'hui le Père Henri Denis

 

-      voir notices sur les Prêtres Ouvriers, le Groupe des Dombes, les cardinaux GERLIER, VILLOT, RENARD

 

 

g.decourt

 

(remerciement à A.Girin de l’ACML, P.Lathuilère)